La croissance chinoise sera durablement plus faible que ce qui était observée jusqu’alors. Cela reflète la nécessité de développer une économie de services puisque désormais l’accent est mis sur le consommateur. Il faut que celui-ci puisse s’épanouir et donc il lui faut des services Cependant ces derniers manquent de productivité, par rapport à l’induistrie, ce qui affectera la dynamique de croissance de la Chine.
Il y a aussi une population activie qui ne croit plus aussi vite que par le passé. Il n’est donc plus nécessaire d’avoir une croissance très forte pour absorber le surplus de maind’oeuvre arrivant sur le marché du travail.
Enfin les autorités monétaires souhaitent mettre de l’ordre dans le secteur bancaire en tentant de mieux contrôler le secteur “fantome” – le shadow banking qui s’est développé après la relance de 2009 et qui perturbe la gestion du crédit par le banque centrale chinoise.
Cette situation aura une incidence forte sur l’Europe et notamment sur l’Allemagne et sur la France pour lesquels les flux d’exportation vers l’Asie sont très importants.