Mon point d’attention: Un taux de croissance de 1% est désormais atteignable en France pour 2024
Le point fort cette semaine: La Grande Bretagne va-t-elle sortir du marasme macroéconomique ?
=>L’enjeu chinois des élections européennes, Page 2
Le déficit commercial vis à vis de la Chine est considérable pour l’Union Européenne. La Commission Européenne a déjà pris des mesures mais il faut aller plus loin et de façon coordonné au sein de l’Union après les élections.
=>Dynamique vertueuse en zone Euro, Page 3
La croissance reprend en zone Euro au premier trimestre. Tous les grands pays connaissent une phase d’expansion. Dans le même temps, l’inflation ralentit avec le reflux des prix des services.
=>Bonne surprise sur le PIB français au premier trimestre, Page 4
La croissance est meilleure qu’attendue au premier trimestre. De la sorte, l’acquis pour 2024 est déjà de 0.5% et la cible de 1% du gouvernement parait atteignable.
=> Le marché du travail US et la Fed Page 5
Les créations d’emplois sont un peu moins vives en avril et le taux de chômage progresse marginalement. Pas suffisamment pour alerter la Fed dès maintenant.
=>La Chine a-t-elle encore besoin de nous ? Page 6
La Chine dispose d’un avantage comparatif fort dans le secteur manufacturier. Cela dessine un nouveau rapport de force entre l’Empire du milieu, les Etats-Unis et l’Europe.
=>Dans un monde bouleversé, le ciblage d’inflation est-il encore pertinent ? Pages 7, 8
Le ciblage d’inflation a été pertinent pour ancrer les anticipations dans un monde macroéconomique peu volatil. Les équilibres politiques et géopolitiques évoluent vite et l’irruption du changement climatique vont bouleverser le bel ordonnancement qui prévalait. L’environnement sera plus volatil et plus inflationniste. Le ciblage d’inflation doit il rester l’instrument privilégié des banques centrales ?